Mettre en œuvre une démarche scientifique dans le cadre des Olympiades de physique : une expérience passionnante vécue par des élèves du Lycée franco-australien de Canberra, finalistes au concours 2020
Publié le 13/02/2020
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Chapo
Les 31 janvier et 1er février 2020, les vingt-cinq équipes finalistes des 27e Olympiades de la physique étaient accueillies à l’université de Paris… L’occasion de défendre leurs projets scientifiques devant le jury national, les présenter lors d’une exposition publique propice aux échanges puis participer à une cérémonie de remise des prix parrainée par le physicien Julien Bobroff. Parmi ces équipes : celle du Lycée franco-australien de Canberra, représentée par deux élèves, Marion et Alejandra, chercheuses en herbe aussi rigoureuses et persévérantes qu’enthousiastes.
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Pour leur projet intitulé « L’atmosphère, une drôle d’affaire… », sélectionné pour le concours national des Olympiades de la physique 2020, quatre élèves de première du Lycée franco-australien de Canberra se sont demandées « comment certains phénomènes atmosphériques modifient le spectre des étoiles reçu depuis la Terre et comment cela permet d’en savoir plus sur la composition de l’atmosphère traversée ».
Elles ont travaillé (beaucoup travaillé !) à la manière de véritables chercheuses, en étant accompagnées par leur professeure de physique et en bénéficiant du soutien et du regard professionnel de deux chercheurs de l’Australian National University.
Deux d’entre elles, Marion Halas et Alejandra Alcalde, sont venues présenter le projet à l’université de Paris, le vendredi 31 janvier devant le jury national, et le samedi 1er février devant les autres équipes et le public des Olympiades.
Elles ont été récompensées par un troisième prix ex-aequo, tous les membres des vingt-cinq équipes finalistes étant lauréats d’une médaille d’or, d’argent ou de bronze. Avec le sens de l’humour qui caractérise le jury des Olympiades, elles ont été appelées sur la scène de la remise des prix par ces mots : « Atmosphère, atmosphère… », le jury vous décerne le prix Arletty. » Leur prix leur a été remis par Guy Wormser, vice-président de la Société française de physique, qui a salué le rôle des Olympiades pour « susciter des vocations, insuffler l’esprit de la recherche et de la culture scientifique ».
Elles ont travaillé (beaucoup travaillé !) à la manière de véritables chercheuses, en étant accompagnées par leur professeure de physique et en bénéficiant du soutien et du regard professionnel de deux chercheurs de l’Australian National University.
Deux d’entre elles, Marion Halas et Alejandra Alcalde, sont venues présenter le projet à l’université de Paris, le vendredi 31 janvier devant le jury national, et le samedi 1er février devant les autres équipes et le public des Olympiades.
Elles ont été récompensées par un troisième prix ex-aequo, tous les membres des vingt-cinq équipes finalistes étant lauréats d’une médaille d’or, d’argent ou de bronze. Avec le sens de l’humour qui caractérise le jury des Olympiades, elles ont été appelées sur la scène de la remise des prix par ces mots : « Atmosphère, atmosphère… », le jury vous décerne le prix Arletty. » Leur prix leur a été remis par Guy Wormser, vice-président de la Société française de physique, qui a salué le rôle des Olympiades pour « susciter des vocations, insuffler l’esprit de la recherche et de la culture scientifique ».